Seconde dénonciation...
9. 11. 2008
Après la première dénonciation-querelle contre l’Eglise, en la personne
de Don Enrico Righi, pour abus de la crédulité populaire et susbstitution
de personne, terminée à la suite de la mise aux archives du Tribunale
de Viterbo et le rejet du Tribunal de Strasbourg pour défaut de forme
(art. 34), Luigi Cascioli en a présentée une seconde, toujours pour les
memes délits, contre Mons. Lucio Soravito de Franceschi, éveque de
Rovigo.
Roccalvecce, le 8/11/2008
A LA PROCURATION DE LA REPUBLIQUE AUPRES DU TRIBUNAL DE ROVIGO.
Le soussigné Luigi Cascioli, résident à Roccalvecce (Viterbe) Italie, via delle Province n. 45/b
EXPOSE CE QUI SUIT
Le soussigné, après de longues et approfondies études consistant
aussi (et pas seulement) en une exégèse textuelle de l’Ancien
Testament, est arrivé à la conclusion que, beaucoup des faits présentés
comme vrais et historiques par les soi-disantes « Saintes Ecritures »
sont en réalité des faux, premier parmi tous l’Historicisme de la
figure de Jésus-Christ, en grande partie empruntée sur celle de Jean de
Gamala, fils de Judas et descendant de la stirpe des Asmonéens.
Les motivations qui ont conduit l’exposant à telle conclusion sont
en détail exposées dans le livre que l’on allègue au présent exposé,
duquel ils constituent partie essentielle et intégrante.
Avec le présent exposé on ne veut pas contester la liberté des
Chrétiens à professer la propre foi, ratifiée par l’article 19 de la
Constitution, mais on veut stigmatiser l’abus que l’Eglise Catholique
commet, en se servant du propre prestige, pour inculquer en tant que
faits réels et historiques, celles qui ne sont rien d’autre que des
inventions.
Un clair exemple de tel abus a été commis par Mons. Lucio Soravito
de Franceschi, éveque de Rovigo, lorsqu’il a soutenu dans son message
pastoral du 23 décembre 2005 la figure historique de Jésus en affirmant
faussement : « Jésus naissant dans un lieu bien défini, Bethléem, et en
un bien précis moment historique : au temps de Auguste, sous le
gouverneur de la Syrie Quirinius, durant le recensement : Jésus n’est
pas un mythe, n’est pas une fable, mais une réalité qui appartient à
notre histoire ».
Que la figure de Jésus-Christ ait été entièrement empruntée sur
celle de Jean de Gamala, fils de Judas, nommé aussi Galiléen, est fait
sûr et démontré par une infinité de preuves qui rend impossible ne pas
croire aux falsifications faites par les rédacteurs des Evangiles. Il
suffit de penser à celle concernant la transformation de l’appellatif
Naziré, nom avec lequel on appelait Jean de Gamala, en Nazaréen donné a
Jésus, en tant qu’habitant de Nazareth, pour démontrer la substitution
de personne.
D’un point de vue pénaliste, de telles falsifications historiques
peuvent intégrer les cas en question de deux délits : l’abus de la
crédulité populaire et la substitution de personne (dans le cas de
Jésus-Christ).
Aux termes de l’art. 661 C.P., on a abus de la crédulité populaire
lorsque quelqu’un, par le moyen d’impostures, induit en erreur une
multitude de personnes, dans le cas spécifique, l’Eglise Catholique (et
pour elle ses ministres du culte comme Mons Lucio Soravito de
Franceschi, dans ce cas), en donnant pour certains les faits
historiquement inexistants (donc en présentant comme vrais et
réellement advenus des faits inventés fonctionnels de la doctrine
religieuse ), trompe toutes les personnes qui entrent en contact avec
l’enseignement de cette religion en les induisant à croire en elle sur
la base non pas d’argumentations purement théologiques (complètement
licites et admissibles), mais sur la base d’une représentation
trompeuse des faits. Le crime est de nature contraventionnelle, c’est
pour cela que l’élément psychologique de la faute est suffisant, ce qui
est certainement vérifiable dans tous les ministres du culte catholique
(donc même Mons. Lucio Soravito de Franceschi), puisqu’on ne peut croire que des
personnes instruites et qui -pour vocation et pour métier- étudient
continuellement la Bible et les Evangiles ne se sont pas aperçues des
nombreuses et répétées faussetés (même grossières) contenues dans de
tels écrits.
En ce qui concerne le délit de substitution de personne, on le trouve
quand un sujet, pour en tirer un avantage, induit d’autres en erreur en
attribuant, à soi-même ou à d’autres, un faux nom.
Dans le cas en examen, le livre « La Fable de Christ » (auquel je
renvoie pour de plus complètes explications) démontre que Jésus-Christ
n’a jamais existé et que, sous ce nom, se cache un certain Jean de
Gamala. Donc Mons Lucio Soravito de Franceschi qui fait du
prosélytisme, comme tous les ministres de l’Eglise, pour tirer avantage
de l’augmentation du nombre des fidèles lequel d’autant il est majeur
d’autant élevés sont les introïts économiques qui dérivent de ses
offrandes, parmi lesquelles celle du 8 pour mille uni à la déclaration
des revenus, induisant en erreur, sur la base de telles faussetés, ceux
qui reçoivent le message et, donc, commet le délit prévu et puni par
l’art. 494 du code pénal.
Entre autre, afin d’intégrer le délit dont nous parlons « ce n’est pas
nécessaire que le but que s’était proposé l’agent soit en soi-même
illicite ou de nature patrimoniale, pouvant-il être licite et non
patrimonial » (Cass. Pen. N. 230694/04 – 1910/05).
L’élément subjectif requis est le dol spécifique, qui subsiste dans
tous ces sujets qui sont conscients de telles faussetés, mais qui ne se
font aucun scrupule de continuer à les divulguer, comme fait Mons.
Lucio Soravito de Franceschi.
La responsabilité du Souverain Pontife peut être seulement morale,
vu son immunité aux termes de l’Art. 3-I comma du Code Pénal, alors que
pour tous les autres ministres du culte catholique (comme dans le cas
spécifique de Mons. Lucio Soravito de Franceschi) peut s’annoncer la
responsabilité de nature pénale.
La continuelle présentation et divulgation d’évènements faux faits
passer pour vrais lèse aussi la tranquillité morale et la sérénité de
l’instant, avec conséquent dommage causé par l’emotional distress,
duquel on demandera l’indemnisation du dommage dans les sièges
opportuns, par le moyen d’une constitution de partie civile, qu’on
réserve dès maintenant.
Le soussigné, à disposition de l’Autorité Judiciaire pour fournir
toute explication, se réserve d’intégrer tout ce qui a été exposé et
demande expressément d’être écouté à propos des faits ci-dessus cités.
Tout cela dit et considéré, le soussigné Luigi Cascioli présente formelle
DENONCIATION-QUERELLE
Contre Mons. Lucio Soravito de Franceschi, résident auprès de la
diocèse rue Sichirollo 18 45100 Rovigo,pour les délits p. et p. des
art. 494 et 661 C.P., ainsi que pour tout autre crime que V.S. voudra
avertir dans le comportement décrit ci–dessus.
Avec réserve de constitution de partie civile dans les manières et
les temps établis par la loi, je demande, ex art. 408 C.P.P., d’être
informé en cas de classement aux archives de la présente querelle.
On dépose le livre cité « La Fable de Christ » et la copie de la
lettre pastorale comme meilleure confirmation de ce qui à été ci-dessus
exposé.
Meilleures salutations,
LUIGI CASCIOLI
http://www.luigicascioli.it/
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